
Avec un recul de 80 000 hectares, les surfaces consacrées aux orges de printemps atteindraient moins de 500 000 ha : la plus faible sole depuis 2018, rapporte Agreste, dans sa note de conjoncture du 12 avril. Le recul est particulièrement fort dans le Grand-Est (-27 %) et en Bourgogne Franche-Comté (-18 %). Pénalisée par la sécheresse de 2022, l’orge de printemps est délaissée dans l’assolement, au profit du colza et de l’orge d’hiver. Ces cultures gagnent respectivement 9,3 et 3,2 % de surface. La sole dédiée au blé tendre augmente quant à elle de 1,7 %.…
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