
crédit photo : Chambre agriculture de Normandie
« La fragmentation des territoires, la structure du parcellaire est un frein au développement de la biodiversité, car elle perturbe la mobilité des espèces », explique Vincent Manneville, de l’Institut de l’élevage (Idele), lors d’un webinaire, organisé le 13 octobre par le Cniel, sur l’engagement de la filière laitière pour la biodiversité. Si l’empreinte carbone de l’élevage est souvent pointée du doigt, l’entretien du paysage par l’éleveur influence grandement la richesse spécifique des espèces : jusqu’à 45 % dans le cas des bourdons, selon le projet de recherche Indibio, rappelle Vincent Manneville. Pour aider les éleveurs à appréhender plus précisément…
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