
Au 12 juillet, chez Cavac, la moisson était terminée avec près de deux semaines d’avance. « Si le bilan global est plutôt satisfaisant, il cache de fortes disparités », constate Christophe Vinet, le directeur des productions végétales de Cavac. Rendement et qualité dépendent avant tout de la nature des sols, de la pluviométrie reçue, de l’apport et/ou de la valorisation du troisième apport d’azote. « Alors que les terres séchantes non irriguées ne dépassent pas les 30 q/ha en blé tendre, des pointes à plus de 100 q/ha ont été enregistrées dans les bonnes terres du bocage, poursuit-il.…
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