
Florence Pradier (au micro), DG de LCA, estime que la multiplicité des signes de qualité est un moyen d'impliquer plus d'agriculteurs dans la transition agroécologique.
Toujours plus de signes de qualité : une source de confusion et de problèmes de compréhension, susceptibles de perdre le consommateur ? Ce point de vigilance est très fréquemment mis en avant par les observateurs du marché alimentaire, mais aussi par certains acteurs de ce marché. La restitution de l’étude « Agroécologie & marchés », par Inrae, le 13 avril, a offert des perspectives différentes.
Davantage de signes de qualité, c’est plus d’enjeux traités
Sébastien Bouvatier, adjoint au sous-directeur de la performance environnementale au ministère de l’Agriculture, explique : « Les démarches agroécologiques sont par essence un…La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
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