Mutagénèse, OGM, non OGM… l’UFS souhaite une adaptation de la réglementation actuelle

Face à l’imbroglio juridique autour de la directive 2001-18 et avec elle, la classification en OGM ou non OGM des différentes techniques de mutagénèse, l’UFS souhaite faire avancer le dossier en proposant une approche claire et simplifiée de la réglementation. L’enjeu est de taille : que les semenciers puissent se projeter dans leurs futurs programmes de recherche pour répondre aux attentes multiples des filières agricoles et alimentaires.
©UFS
« La réglementation, vieille de vingt ans, n’est plus adaptée au contexte actuel, expliquait Rachel Blumel, directrice de l’Union française des semenciers (UFS), en préambule d’une « Master class » organisée sur les méthodes d’amélioration des plantes, le 7 avril. Nous devons sortir de ce statu quo juridique qui crée des incertitudes et ne permet pas à nos entreprises de se projeter. »

Encore des interrogations sur la directive 2001-18

Au cœur du problème, la directive 2001-18, dont les origines remontent à 1990, et la classification en OGM ou non OGM des différentes techniques de sélection et notamment de la mutagénèse. Selon qu’elle soit…

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Une information stratégique

Toute l’actualité des acteurs de la vente et du conseil, des débouchés et des filières.

Pour tous les métiers

Direction, achat, vente, communication, environnement, juridique...Référence agro a l’information qu’il vous faut.

De l'expertise

Les dernières avancées scientifiques, la politique agroenvironnementale et l'évolution du cadre réglementaire.

Le magazine Culture Agri

Chaque trimestre, l'analyse et le décryptage des enjeux agricoles et des attentes sociétales pour une planète plus durable.

Autres articles du fil

LCA Ouest lance Agribest

2 juin 2023
Le 31 mai, La Coopération agricole Ouest et CdC Biodiversité ont lancé l’application Agribest, l’outil d’auto-diagnostic destiné à mesurer la performance biodiversité des pratiques...