
Dans une étude publiée le 15 décembre dans Nature Food, des chercheurs des université de Bath et Exeter (Royaume-Uni) se consacrent à l'impact économique engendré par les mycotoxines dues aux fusarioses, sur la valorisation du blé. Leur travail recoupe des chiffres collectés sur la période 2010-2019, à l'échelle européenne et porte en particulier sur une mycotoxine : le déoxynivalénol (Don). Selon l'étude, sur cette période, 75 millions de tonnes de blé, soit 5 % du blé cultivé pour l'alimentation humaine, dépassaient la limite de 750 µg de Don par kilo de céréale. L'impact financier du déclassement de…
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