Phytos : l’impact d’Égalim, un an après

Un an après sa parution au Journal officiel, quel bilan peut-on faire de la loi Égalim côté phytos ? Le texte constitue l'une des briques de la politique du Gouvernement pour réduire la dépendance aux spécialités de synthèse. Pas moins de quinze mesures dédiées sont inscrites dans cette loi. Quelles sont aujourd'hui les conséquences sur l'organisation en distribution, sur l'utilisation des produits de protection des plantes ? Référence Appro fait le point.
D.R.

La loi Égalim fête ses un an. Adoptée le 2 octobre 2018 et publiée au Journal officiel un mois après, elle ne s'attache pas uniquement à l'amélioration de l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire. Sa deuxième partie, consacrée entre autres à l'instauration de mesures en faveur d'une alimentation saine et durable, comporte quinze dispositions ayant un impact sur l'utilisation des produits phytosanitaires. Certaines, comme la séparation du conseil et de la vente, révolutionnent le métier de la distribution. Si la totalité des mesures ne sont pas encore mises en place, nombre d'entre-elles bousculent déjà…

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