Projet alimentaire territorial et bénéfices environnementaux, c’est prouvé !

Dans son travail de thèse, financée par l'Ademe, Andrea Lulovicova prouve l’efficacité environnementale des politiques alimentaires territoriales (PAT), bien au-delà des circuits courts ou du bio dans les cantines. Elle a utilisé l’analyse de cycle de vie territoriale, ACV-T, une méthode encore jamais utilisée pour l’évaluation des politiques alimentaires. Explications.
PAT
Andrea Lulovicova, géographe, qui mène une thèse au laboratoire Espace  de l’université  Côte d’Azur, financée par l'Ademe.
Est-ce que les Projets alimentaires territoriaux, PAT, sont bons pour l’environnement ? C’est à cette question qu’a tenté de répondre Andrea Lulovicova, géographe, qui mène une thèse au laboratoire Espace  de l’université  Côte d’Azur, financée par l’Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, Ademe. « L’impact environnemental des PAT reste à confirmer, indique-t-elle. Prendre en compte uniquement le développement des circuits courts, soit une diminution des kilomètres alimentaires, est bien trop réducteur. » La chercheuse a créé une méthodologie pour comparer les systèmes alimentaires avant et après les PAT. La méthode a été testée sur la commune de Mouans-Sartoux,…

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